Mon nom de scène complet est Esagil Orlingas. Je réalise des œuvres numériques à partir de préconceptions abstraites ou de photographies que je crée à l'aide de mon téléphone. Tout cela, cependant, a un sens pour moi car cela interagit avec cette partie du subconscient qui est occultée dans la conscience mais qui a théoriquement la capacité d'élaborer des concepts logiques à travers une "discussion" interne avec ma partie spirituelle active et éveillée. Cette partie idéalise un chemin mystique à travers les œuvres, voyageant d'une histoire à l'autre concernant chaque œuvre mise en évidence par l'observateur. L'observé est l'œuvre elle-même, mon subconscient dans lequel je me reflète et me reconnais spontanément. C'est pourquoi j'ai inclus le tableau de Jean Désiré Gustave Courbet "L'homme désespéré", car je me vois comme une goutte d'eau dans ce même tableau, je le regarde fixement, ne sachant pas si je dois en être ravi ou effrayé. Un dilemme qu'il vaudrait peut-être mieux laisser au hasard, mais qui m'accompagnera toujours dans ce voyage à la recherche de moi-même. ---Temet Nosce
Mon nom de scène complet est Esagil Orlingas. Je réalise des œuvres numériques à partir de préconceptions abstraites ou de photographies que je crée à l'aide de mon téléphone. Tout cela, cependant, a un sens pour moi car cela interagit avec cette partie du subconscient qui est occultée dans la conscience mais qui a théoriquement la capacité d'élaborer des concepts logiques à travers une "discussion" interne avec ma partie spirituelle active et éveillée. Cette partie idéalise un chemin mystique à travers les œuvres, voyageant d'une histoire à l'autre concernant chaque œuvre mise en évidence par l'observateur. L'observé est l'œuvre elle-même, mon subconscient dans lequel je me reflète et me reconnais spontanément. C'est pourquoi j'ai inclus le tableau de Jean Désiré Gustave Courbet "L'homme désespéré", car je me vois comme une goutte d'eau dans ce même tableau, je le regarde fixement, ne sachant pas si je dois en être ravi ou effrayé. Un dilemme qu'il vaudrait peut-être mieux laisser au hasard, mais qui m'accompagnera toujours dans ce voyage à la recherche de moi-même. ---Temet Nosce
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