François-Hubert Drouais, né le 14 décembre 1727 à Paris, était un maître du portrait et une autorité artistique durant la fin du règne de Louis XV. Il comptait parmi ses clients la famille royale française, la noblesse, les aristocrates étrangers et les membres les plus fortunés de la société parisienne. Avec sa renommée croissante à la cour de France, Drouais devint l'artiste de style de l'époque et ses portraits devinrent un incontournable de la société. Malgré des critiques occasionnelles, il jouissait d'une grande admiration et d'une large popularité pendant sa période active de création.
Dans sa formation, Drouais a bénéficié de l'enseignement d'une série de maîtres remarquables, dont son père Hubert Drouais, Donat Nonnotte, Charles André van Loo, Charles Joseph Natoire et François Boucher. Son ascension dans le cercle de l'Académie Royale fut marquée par le succès de l'exposition de ses portraits des célèbres sculpteurs Edmé Bouchardon et Guillaume II. Coustou au Salon de 1759. Au cours des années suivantes et jusqu'à sa mort en 1775, il participa régulièrement aux séances de l'Académie Royale et exposa ses œuvres au prestigieux Salon du Louvre à Paris. L'œuvre de portraitiste de Drouais comprenait une liste impressionnante de nobles et de personnalités de son époque. Outre la comtesse du Barry, il peignit Louis-Stanislas-Xavier, comte de Provence, le futur Louis XVIII, conservant la position de premier peintre de 1772 à sa mort. Les filles de Louis XV, connues sous le nom de Mesdames de France, comptaient également parmi ses principaux soutiens. Elles le proposèrent même à leur père Louis XV comme portraitiste pour la jeune Marie-Antoinette à Vienne, bien que sa commission fut jugée trop élevée et que ce soit Joseph Ducreux qui reçut la commande à la place.
Certains de ses élèves, dont Catherine Lusurier, son fils Jean Germain Drouais, Jean Louis Voille et Pierre-Hippolyte Lemoyne, sont également devenus des artistes connus. Son héritage artistique comprend des portraits de Louis XV, des maîtresses officielles de Louis, Madame de Pompadour et Madame du Barry, des Mesdames de France, du Comte et de la Comtesse de Provence, du Comte de Buffon, de Madame Favart et de la jeune Marie-Antoinette. En tant que reproducteurs de tirages d'art, nous nous efforçons de conserver la subtilité et la précision que Drouais a apportées à ses portraits. Chaque tirage d'art est une preuve de l'art délicat du portrait et un hommage à l'importance historique et à l'influence de François-Hubert Drouais.
François-Hubert Drouais, né le 14 décembre 1727 à Paris, était un maître du portrait et une autorité artistique durant la fin du règne de Louis XV. Il comptait parmi ses clients la famille royale française, la noblesse, les aristocrates étrangers et les membres les plus fortunés de la société parisienne. Avec sa renommée croissante à la cour de France, Drouais devint l'artiste de style de l'époque et ses portraits devinrent un incontournable de la société. Malgré des critiques occasionnelles, il jouissait d'une grande admiration et d'une large popularité pendant sa période active de création.
Dans sa formation, Drouais a bénéficié de l'enseignement d'une série de maîtres remarquables, dont son père Hubert Drouais, Donat Nonnotte, Charles André van Loo, Charles Joseph Natoire et François Boucher. Son ascension dans le cercle de l'Académie Royale fut marquée par le succès de l'exposition de ses portraits des célèbres sculpteurs Edmé Bouchardon et Guillaume II. Coustou au Salon de 1759. Au cours des années suivantes et jusqu'à sa mort en 1775, il participa régulièrement aux séances de l'Académie Royale et exposa ses œuvres au prestigieux Salon du Louvre à Paris. L'œuvre de portraitiste de Drouais comprenait une liste impressionnante de nobles et de personnalités de son époque. Outre la comtesse du Barry, il peignit Louis-Stanislas-Xavier, comte de Provence, le futur Louis XVIII, conservant la position de premier peintre de 1772 à sa mort. Les filles de Louis XV, connues sous le nom de Mesdames de France, comptaient également parmi ses principaux soutiens. Elles le proposèrent même à leur père Louis XV comme portraitiste pour la jeune Marie-Antoinette à Vienne, bien que sa commission fut jugée trop élevée et que ce soit Joseph Ducreux qui reçut la commande à la place.
Certains de ses élèves, dont Catherine Lusurier, son fils Jean Germain Drouais, Jean Louis Voille et Pierre-Hippolyte Lemoyne, sont également devenus des artistes connus. Son héritage artistique comprend des portraits de Louis XV, des maîtresses officielles de Louis, Madame de Pompadour et Madame du Barry, des Mesdames de France, du Comte et de la Comtesse de Provence, du Comte de Buffon, de Madame Favart et de la jeune Marie-Antoinette. En tant que reproducteurs de tirages d'art, nous nous efforçons de conserver la subtilité et la précision que Drouais a apportées à ses portraits. Chaque tirage d'art est une preuve de l'art délicat du portrait et un hommage à l'importance historique et à l'influence de François-Hubert Drouais.
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